Joyce DiDonato : Stella di Napoli
Auteurs   DiDonato, Joyce (Auteur)
Edition  Parlophone , 2014
Matériel Accompagnement   1 livret
Langue d'édition   français
Catégories   Musique Classique
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Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Médiathèque 1781600011502 311 DIDOAdulte / DiscothèqueDisponible
Contient :
Stella di Napoli, Part I: "Ove t'aggiri, o barbaro" (Stella, Marta)
Adelson e Salvini, Act 1: "Dopo l'oscuro nembo" (Nelly)
Le nozze di Lammermoor, Act 2: "L'amica ancor non torna... Oh, di sorte crudel" (Lucia)
Zelmira, Act 2: "Riedi al soglio" (Zelmira, Polidoro, Ilo)
La vestale, Act 2: "Se fino al cielo ascendere" (Giunia)
Elisabetta al castello di Kenilworth, Act 3: "Par che mi dica ancora" (Amelia)
I Capuleti e i Montecchi, Act 2: "Tu sola, o mia Giulietta... Deh! tu, bell'anima" (Romeo)
Il sonnambulo, Act 1: "Lasciami... Se il mar sommesso mormora" (Adele, Sofia)
Maria Stuarda, Act 3: "Io vi rivedo alfin... Deh! Tu di un'umile preghiera" (Maria)
Saffo, Act 3: "Flutto che muggi... Teco dall'are pronube... L'ama ognor qual io l'amai" (Saffo, Faone, Climene, Alcandro)
Résumé : Remarquable dans les répertoires de Haendel et de Rossini, Joyce DiDonato n'en est pas moins à l'aise dans un programme réunissant dix airs d'opéras signés de compositeurs italiens méconnus et pour la plupart peu joués, voire complètement ignorés et inédits par le disque. La mezzo-soprano américaine qui a triomphé sur toutes les scènes mondiales et investi l'aura d'une prestigieuse aînée dans Colbran : The Muse en 2009 se délecte à exhumer ces perles napolitaines oubliées, ensevelies par l'Histoire. De merveilles, Stella di Napoli n'en manque pas, ressucités par l'une des voix les plus virtuoses et étendues du moment. La façon qu'a la chanteuse d'enrouler les deux airs de Vincenzo Bellini, Deh ! tu, bell'anima extrait de I Capuleti e i Montecchi et Dopo l'oscuro nembo d'Adelson e Salvini, en sont de parfaits exemples. Une autre page inévitable et pourtant rare de Rossini, Riedi al Soglio tiré de Zelmira, envoûte par sa prestance, noble et triomphante. Mais c'est dans le somptueux Oh, dis sorte crudel que le récital atteint l'extase, par cet air signé Michele Carafa, proche de Rossini dont La Nozze di Lammermoor puise à la même source que le célèbre opéra de Donizetti.