Sun Tzu ou L'art de gagner des batailles
Titre origine  Sun Tzu at Gettysburg : ancient military wisdom in the modern world
Compl. Titre  Saratoga, Waterloo, Gettysburg, la Marne, la bataille de France, Stalingrad, la Normandie, la Corée
Auteurs   Alexander, Bevin (Auteur)
Bersani, Jacques (Traducteur)
Edition  Tallandier : Paris , DL 2012
Collation   1 vol. (295 p.)
Illustration   cartes, couv. ill. en coul.
Format   22 cm
indice Dewey   355.4
ISBN   978-2-84734-919-1
Prix   20,90 EUR
Langue d'édition   français
Langue d'origine   anglais
Sujets   Guerre : stratégie
Catégories   Sciences Sociales
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Réservation
SiteNuméroCoteSection / LocalisationEtat
Médiathèque 1781600075764 355.4 ALEXAdulte / AdultesDisponible
Résumé : Rédigé il y a 2 400 ans par un sage chinois nommé Sun Tzu, L'Art de la guerre figure aujourd'hui parmi les grands classiques de l'histoire militaire. Dans un style concis et imagé, ce petit livre rassemble un certain nombre de recommandations sur la manière de conduire une guerre. S'il a profondément influencé l'art militaire oriental, s'il a notamment aidé Mao à forger son concept de guérilla, il est resté longtemps méconnu des Occidentaux auxquels il aurait pourtant évité bien des déboires. Spécialiste mondialement reconnu, Bevin Alexander se propose ici de montrer, exemples à l'appui, comment les chefs qui ont appliqué - sans le savoir - les principes, maximes et conseils de Sun Tzu ont presque toujours remporté la victoire, et comment ceux qui y ont contrevenu ont, sans la moindre exception, connu l'échec. Sagesse ancienne et batailles modernes : de la guerre d'Indépendance américaine à Gettysburg, du débarquement de Normandie à la guerre de Corée, en passant par Waterloo, la Marne et les Ardennes, la démonstration, solidement documentée et argumentée, est implacable. De ces pages pleines de bruit et de fureur, mais non dépourvues d'humour, où s'accumulent des erreurs qui furent si coûteuses en vies humaines, n'en émergent pas moins, Sun Tzu aidant, quelques figures (Jackson, Manstein, Patton, sans oublier Napoléon, jusqu'à Waterloo), qui viennent opportunément démentir l'affirmation de Valéry selon laquelle la guerre est une chose trop sérieuse pour la confier à des militaires.
Notes : Notes bibliogr. Index